La sélection qu’organise Parcoursup suscite un climat anxiogène, tant pour les élèves que pour les parents : près du quart des terminales ( 21,5 % ) n’ont toujours aucune réponse et devront encore lanterner jusqu’en septembre.
A cela s’ajoute encore la répression du gouvernement vis-à-vis de l’expression démocratique des étudiants qui refusent pareil monde de compétition et de concurrence : à Jussieu, Toulouse, Nanterre, Paris VIII, ce ne fut que gazage, nasse et matraquage.
Mme Vidal et moi-même appartenons à la même génération : comme moi elle fait partie des 60% d’élèves ayant « échoué en licence », parce que c’est un âge où l’on tatonne, où se réoriente, où l’on se construit et se découvre peu à peu.
Désormais, place à la rentabilité universitaire !
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