Alors que les rapports du GIEC sont de plus en plus alarmant, que la prise de conscience de l’urgence écologique va croissante, il est absurde continuer à vanter un modèle de production énergivore, outrancier et productiviste.
Il faut taxer davantage les publicités portant sur des voitures trop polluantes, à rebours des transports en commun et des mobilités douces à développer.
Une croissance infinie n’est pas possible sur une planète fini : un axiome pourtant simple, mais ça le gouvernement n’en a cure, de peur de fâcher les puissances d’argent.